Festival décolonial des arts visuels et performatifs : le genre
NIO FAR

Pour sa sixième édition le Festival Nio Far se penche sur la question du Genre. Question que d’aucuns tendraient à analyser comme une problématique européo centrée bien éloignée des thèmes abordés jusqu’alors par le festival. Il s’avère toutefois urgent de bousculer « l’hétéro patriarcat cisgenre » qui se pose comme référence universelle. En effet, les « ambiguïtés » du genre la complexité des constructions des individus et de leur sexualité concerne tous les continents et à bien y regarder, le genre était déjà pensé et ritualisé dans les sociétés antécoloniales. Par le biais de conférences, expositions installations et performances, ensemble (signification de Nio Far en wolof), nous nous interrogerons sur l’éclairage apporté sur ces questions par les sociétés précoloniales, sur la complexité et la diversité des approches « ici et là-bas ». Le Festival Nio Far se penchera sur la question du genre avec de nombreux artistes et personnalités telles que Jo Güstin Wamal, Ludovic-Mohamed Zahed, Mehammed Amadeus Mack, Eric Abrogoua, Jean François Boclé, Kim Lan Nguyen Thi, Johan Sordelet, Régis Samba Kounzi, Françoise Vergès, Frieda Ekotto, Lasseindra  Ninja, Marthe Djilo Kamga, Nathalie Muchamad.

Programme
dimanche 2 juin
16:30Next18:00
Rencontre - échange : L’islam et l’homosexualité

Illustrations vidéo : Juan Gélas et Marine Bachelot Nguyen

18:15Next19:30
Carte blanche à Françoise Vergès
20:00Next21:30
Rencontre Art visuel

Dans le musée des gens | Jean-François Boclé

 

En juin 2016 au centre d’art Bétonsalon, à l’occasion de l’un de Ateliers proposés par Françoise Vergès – Cartographie postcoloniale -, et en 2018, dans le cadre de l’exposition Anybody Walking? Esthétiques politiques du voguing au Centre d’art Eternal Gallery à Tours, j’ai invité Mother Lasseindra Ninja à un dispositif collaboratif, lui proposant d’activer des vidéos found footage YouTube de la Ballroom Scene choisies par elle. Il ne s’agissait pas pour moi d’être présent à la place de, encore moins de parler à la place de, ou de dire quelque chose de l’Autre en son absence.

L’écriture visuelle de Lasseindra était projetée sur un entrelacs de matériaux renvoyant au mur, à la frontière — plaques de MDF, grillage, tasseaux, etc —, du côté de l’empêchement, de la césure comme du franchissement. Il était davantage question de ne pas montrer un topos underground que de montrer ou de donner accès — j’avais interdit le franchissement de l’escalier de la mezzanine de Bétonsalon, ou celui menant au dernier étage de l’Eternal Gallery. On ne pouvait qu’entr’apercevoir l’espace de projection. Pas d’accès non plus au clavier de l’ordinateur pour le public. Si le public bénéficiait d’un sound system très realness, sous les beats de la House du Voguing, son désir de regard se voyait donc confronté à de l’inconfort, du lointain. Il s’agissait davantage d’insatisfaire, en faisant apparaître des ombres dans le lointain de la grotte du white cube, que de donner à consommer des Vogueurs voguant au plus près des rétines — un « au plus près » qui congédie, un convoquer qui révoque. Ces allusions corporelles, ces rythmes pixellisés opéraient dans un espace restreint, éloigné, empêché, clôturé, barré, engrillagé.

Il s’agissait là d’inscrire dans les brèches du white cube les coordonnées géographiques de cette communauté dans la cartographie du Black Atlantic, dont elle est l’une des intersections éminentes.

21:30Next22:00
Exposition virtuelle / Projection

MINORITÉS | Régis Samba KOUNZI

 

Le projet est intitulé « Minorités », à partir d’un point de vue situé, il a donc pour objectif de dénoncer la stigmatisation, interroger le vécu réservé aux laisser pour compte, particulièrement les LGBT, et de proposer un point de vue personnel et collectif. Il s’articule par des séries autonomes qui formeront à terme une constellation de sujets reliés les uns avec les autres pour donner une vision de la société dans lequel nous vivons actuellement mais aussi une vision du monde souhaité plus solidaire et égalitaire. Le message, c’est que cette transformation radicale de nos modes de pensées ne peut se réaliser qu’en se décolonisant, d’abord soi-même.

 

 

 

POUR ELISE |  Johan SORDELET et Nathalie MUCHAMAD

 

Pour Elise est un portrait réalisé lors d’une résidence de création en 2017, avec Johan Sordelet à Espace Projet,

Montréal Canada, dans le quartier de Villeray.

Ellise J. Barbara, est une chanteuse canadienne, basée à Montréal d’origine haïtienne . Nous avons discuté d’une séance de photo. Elle passait par une étape de transformation et cette séance photos cherchait à rendre compte de la femme vers laquelle elle cheminait. Sur un ensemble de prises, elle a choisi celle-ci, qui fut ensuite imprimée au format poster.

Photo de Régis Samba Kounzi.

Biographies
Jean François Boclé

est né en 1971 en Martinique où il y vécu près de 17 ans. Il a suivi une formation à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Bourges (1992-95) et à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (1995-98). Son travail s’attache autant à mettre au jour les rapports de forces et de violences – basés sur l’exploitation de « L’AUTRE » – qui règlent le fonctionnement de notre monde qu’à tracer le chemin vers la possibilité d’un « NOUS » invalidant toutes frontières entre endogène et exogène, un « NOUS » traversé. C’est ainsi qu’il envisage son « Cannibalisme étymologique – Caniba, Cariba, Caribe : en Caraïbe, nous savons être traversé-e-s, par les Caravelles et les cales qui suivirent, par les cargos bananiers, par les migrations volontaires ou blessées, mais aussi par le cyclonique, l’éruptif, le sismique, le carnavalesque, les loas et orishas. Toute notre tectonique est cannibale. »1 « Boclé ne peut être catalogué dans une langue spécifique, c’est pourquoi il est très difficile de l’envisager à partir de la performance, de la vidéo, de l’installation ou de ses dessins : j’aime à le voir via la façon dont il matérialise sa pensée dévorante. (…) Bien que pour beaucoup d’artistes et de penseurs caribéens, la résistance soit un espace investi quand il s’agit d’interpréter et définir la Caraïbe, pour Boclé la résistance a cessé d’être une option puisque son corps fonctionne comme une sorte de parangolé, où avec son corps cannibale, il traverse des situations de violence, en même temps qu’il est traversé par la violence. »2 Il a participé à onze biennales internationales en Europe, en Amérique Latine, en Asie et sur le continent africain. On a récemment aussi vu son travail, entre autres, au Van Gogh Museum (solo show dans le cadre de l’exposition Gauguin & Laval en Martinique, Amsterdam), au Queens Museum ( New York), à la Saatchi Gallery (en 2015 et 2019, Londres), au National Museum of World Culture (Stockholm), au CCK (Argentine), à Para Site (Hong Kong), à la ILHAM Gallery Modern and Contemporary Art Museum (Malaisie), à la Philharmonie de Paris – Cité de la Musique, ou à la Maëlle Galerie (Paris). Jean-François Boclé est représenté dans des collections comme la Saatchi Collection.1 – Jean-François Boclé 2 – Jaider Orsini, curateur et critique colombien, Artishock Revista, 2017.

Régis Samba Kounzi

est artiste Franco-Congolais-Angolais né au Congo. Il fait parti de la première génération de photographes du continent africain ouvertement homosexuel. Ancien activiste des associations Planet Africa et Act Up-Paris, il y a milité durant de nombreuses années. Il a contribué, de 2001 à 2009, à l’écriture d’articles pour la revue Action, la lettre mensuelle d’Act Up, ainsi que dans le bulletin d’information Protocole Sud. L’humain est central dans son engagement. Depuis 2013, il est investi dans un récit photographique et autobiographique au long cours avec une démarche hybride entre recherche esthétique et documentaire. Il explore, notamment en Afrique francophone, les conditions de vie, les stratégies de survie et de résistance des minorités, marginalisées et vulnérabilisées par la classe, le genre, le vih-sida, la race, le validisme, la religion ou l’orientation sexuelle. Ce projet global, intitulé Minorités, a déjà connu plusieurs séries (Inside, Lolendo, Erzulie, Molendé, Bolingo, Backstage), et connaîtra encore d’autres étapes en Afrique, dans les Caraïbes ou ailleurs. Il a été un collaborateur du photographe Nicola Lo Calzo et répond ponctuellement à des commandes de travaux photographiques pour des associations dont Sidaction, Coalition Plus,Le Kiosque Info Sida.

Mehammed Amadeus Mack

est professeur de French Studies et d'études de genre à Smith College dans le Massachusetts. Il est l'auteur de "Sexagone: Les musulmans, la France, et la sexualisation de la culture nationale" (Fordham University Press). Il travaille en ce moment sur son deuxième livre, "Eurabie : La contre-colonisation et les croisades inversées dans la culture européenne".

Lasseindra Ninja

débute le voguing à 20 ans, en étant recrutée dans l’un des plus célèbres collectifs de New York avant d’importer le concept en France, principalement à Paris où elle organise ses propores balls (ballrooms) où drag queens et personnes trangenre peuvent exprimer librement leur indentité. En France, Lasseindra Ninja a créé la House of Ninja, l’une des « houses » de voguing les plus internationales7 de Paris. Elle reconnaît l’héritage de ses ainés Stéphane Mizrahi et GIo Brooks, qui ont pratiqué cette danse en France avant elle. Cette nécessité de partage, encouragée par la seconde pionnière du voguing en France Mother Steffi, lui fait créer une scène Ballroom afin de faire connaitre cette culture américaine, une culture certes codifiée où elle laisse la possibilité d’ajouter quelques touches françaises. Le voguing est pour elle une « liberté d’expression personnelle autant qu’une écriture personnelle. » Elle souhaite néanmoins préserver l’héritage de la Ballroom afin de relier cette scène à ses racines sociales et politiques et être attentive aux tentatives de récupérations multiples. Lasseindra apparaît dans le documentaire Paris is voguing (2016) de Gabrielle Culand, diffusé à la télévision sur France 4. Il présente notamment les ballrooms du voguing, des concours de beauté à la frontière entre défilé de mode et battle de danse. Pour Lasseindra, les codes des ballrooms américains ont encore du mal à se faire comprendre aussi bien dans le milieu hétérosexuel que gay : « ça reste difficile pour les blancs la Ballroom scène car c’est une culture de blacks. »

Johan Sordelet

est diplômé de l’école des Beaux Arts de Valence. Son travail interroge notamment le genre à travers la peinture, la vidéo et l’installation. Il a collaboré plusieurs fois avec Nathalie Muchamad, plasticienne,  afin que leurs recherches puissent se croiser dans une perspective intersectionelle : c’est dans ce cadre qu’a été réalisée une série de photographies avec l’artiste Ellise Barbara à Montréal en 2017.

Kim Lan Nguyen Thi

est née 1979 en Nouvelle-Calédonie – Océan Pacifique.
Elle a participé à la section Rendez-Vous de la Biennale de Lyon 2017, et est aujourd’hui basée à Lyon.
Son travail s’articule autour de vidéos, dessins, textes, installations. Elle prend en compte une géographie et son histoire en explorant la notion de multiplicité dans un monde connecté et multipolaire. Ses origine à la fois javanaise et calédonienne questionnent l’idée d’une identité qui se déconstruit à travers la quête de l’histoire et du passé.

Françoise Vergès

est une politologue et militante féministe « décoloniale » française. Françoise Vergès a publié de nombreux ouvrages et articles en français et en anglais sur les mémoires de l’esclavage, la psychiatrie coloniale, Frantz Fanon, Aimé Césaire, l’économie de prédation et la globalisation, le musée postcolonial, et les processus de créolisation dans les mondes de l’Océan indien. Parmi ses dernières publications : Un féminisme décolonial, 2018 ;  Le Ventre des femmes, Albin Michel, 2017 (traduction en anglais, Duke University Press). Françoise Vergès est aussi l’auteur de films, « Aimé Césaire face aux révoltes du monde » (2013) et « Maryse Condé. Une voix singulière » (2011) et a été consultante sur plusieurs films. Commissaire indépendante, elle a notamment organisé au musée du Louvre, « L’esclave au Louvre : une humanité invisible » en 2013 et 2013 et les expositions « Dix femmes puissantes » (2013) et « Haïti, effroi des oppresseurs, espoir des opprimés » (2014) pour le Mémorial de l’abolition de l’esclavage de Nantes. Elle fonde aussi l'association "Décoloniser les arts" aux côtés de Gerty Dambury et Leila Cukierman.

Se réunir
Se documenter

N'afficher que les évènements avec :

Retrouver par tag

Revue(14)
Débat(13)
Art(5)
DLA(5)
Arts(4)
Exil(2)
BAK(1)
CSIA(1)
Fiac(1)
Gaza(1)
Mode(1)
Noir(1)

Retrouver par intervenant

B
C
D
M
S
Avril 2021
Mars 2020
Février 2020
Janvier 2020
Décembre 2019
Novembre 2019
Octobre 2019
Septembre 2019
Juillet 2019
Juin 2019
Mai 2019
Avril 2019
Mars 2019
Février 2019
Janvier 2019
Décembre 2018
Novembre 2018
Octobre 2018
Septembre 2018
Juin 2018
Mai 2018
Avril 2018
Mars 2018
Février 2018
Janvier 2018
Décembre 2017
Novembre 2017
Octobre 2017
Septembre 2017
Se détendre
Faire une réservation

Les réservations sont à présent fermées.

Merci pour votre demande de réservation. Nous revenons vers vous au plus vite.
Privatiser l'espace

La privatisation n'est à présent plus disponible.

Merci pour votre demande. L'activité de La Colonie est aujourd'hui suspendue en raison de l'épidémie de Covid-19. Nous faisons notre possible pour revenir rapidement vers vous.
Informations
Le Projet

, un lieu de Savoir-vivre et de Faire-savoir

 

Fondé par Kader Attia, Zico Selloum et leur famille.

 

met au défi les postures amnésiques et délétères. C’est un lieu convivial qui engage, en toute indépendance, les chantiers du vivre et du penser ensemble.

 

En mettant en oeuvre ce projet, l’artiste Kader Attia entend poser au présent les questions de la décolonisation des peuples comme celle des savoirs, des comportements et des pratiques. Située dans un quartier où se mélangent populations africaines, indiennes et asiatiques, à deux pas de la gare du nord et donc aux carrefours de l’Europe comme du monde, vise à réunir — sans exclusion et à travers ces formidables tribunes que peuvent être la création artistique et intellectuelle — toutes les identités et toutes les histoires, en particulier celles des minorités.

 

Tout à la fois repère et refuge, est un espace à l’identité bigarrée : c’est un bar et une agora ; c’est un laboratoire et une lieu de fêtes ; c’est un lieu de paroles, d’écoutes, de partages, d’expérimentations et de monstrations.

 

 

Une architecture

Protégé du tumulte de la rue, l’espace en retrait de est dominé par une haute verrière qui offre une lumière zénithale et paisible. Au rez-de chaussée, se déploie sur plus de 200 m2 l’espace du bar où l’on peut venir se reposer en prenant un café, où l’on donne rendez-vous à des amis pour boire un verre, où l’on peut manger sur le pouce, venir écouter un concert ou encore assister à une projection.

 

Au premier étage, une grande mezzanine donne sur le bar comme sur une court intérieure. Isolé du rez de chaussée par des vitres qui ne laissent passer que la lumière, cet espace est dédié au partage des savoirs en mouvement. On peut venir y écouter et proposer d’autres formes de pensées à travers des dialogues publics. entend accueillir des collectifs, des militants, des groupes de recherches universitaires, des artistes, des acteurs sociaux pour les inviter à des partages libres d’expériences et de savoirs. On peut ici assister à des conférences, des lectures, des témoignages, participer à des workshops, des ateliers d’écritures…

 

Le deuxième étage est consacré aux différentes formes et concepts de l’art. Loin du contexte muséal ou institutionnel, les propositions artistiques y sont aussi bien conceptuelles que formelles, a-formelles ou performées. Les projets présentés sont également l’occasion d’élaborer une pensée critique non académique, en lien constant avec les enjeux de notre présent.

 

La structure architecturale du bâtiment, idéale pour ce type de combinaison, offre une grande fluidité entre les différents espaces car ici la vie, la pensée, l’engagement et les pratiques de l’art interagissent en synergie.

 

 

Une expérience de défragmentation

se construit autour de la volonté de répondre à une urgence impérieuse de réparations sociales et culturelles.

 

Par delà les clivages religieux ou politiques, nos sociétés contemporaines ont atteint un niveau jusqu’alors inégalé de fragmentation que seul l’aménagement d’espaces de dialogues, de rencontres, de confrontations permettra de faire reculer. Ici comme un peu partout ailleurs, les fractures se démultiplient dans un silence criant, avec une violence accrue. est une expérience de dé-fragmentation, de dé-morcellement, de réparations dans laquelle tout le monde est le bienvenu. Ce projet entend permettre aux savoirs universitaires de sortir des arcanes du pouvoir institutionnel et élitiste en leur permettant de se confronter à d’autres formes de transmissions. Il entend émanciper des modes d’appréhension et de savoir populaires, parfois non occidentaux, souvent minorés.

 

souhaite décloisonner les savoirs, les pratiques, en valorisant une approche trans-culturelle, trans-disciplinaire et trans-générationnelle dans lequel tous et chacun trouve une place. Nous faisons le pari que sous l’égide de l’échange et de la palabre, l’art comme la pensée sont parmi les vecteurs les plus forts de cette défragmentation.

 

Si est un lieu physique de rencontres, elle oeuvre également à l’archivage de ce présent en train de se faire et met à disposition librement les échanges et les expérimentations dont elle est le théâtre. 

L'équipe

Kader Attia

Directeur et co-fondateur

Zico Selloum

Co-Fondateur de

Sylvie Labiche

Directrice Administrative & Financière

Pascale Obolo

Responsable du Salon du Livre d'art des Afriques et des Editions de

Alix Hugonnier

Coordinatrice de la programmation culturelle et artistique

Lucas Erin

Coordinateur de la production

Ava Attia

Responsable des réservations

Kristell Charbonneau

Responsable des privatisations - DRH

Christelle Boco

Responsable bar

Nous suivre

Afin de suivre notre actualité, ou encore avoir des informations sur les évènements à venir, vous pouvez vous inscrire à notre newsletter en suivant ce lien : inscription.

To subscribe to our english newsletter, please follow this link : subscription.

Proposer un évènement

Vous pouvez nous écrire ici pour proposer un évènement à . Toutes les demandes sont étudiées.

L'activité de est cependant aujourd'hui suspendue en raison de l'épidémie de Covid-19. Nous faisons notre possible pour reprendre au plus vite.

Contact

Sélectionnez un type de projet

Mars 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Avril 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
Mai 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Juin 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
Juillet 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Août 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Septembre 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
Octobre 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Novembre 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
Décembre 2024
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Janvier 2025
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Février 2025
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
Mars 2025
Lu
Ma
Me
Je
Ve
Sa
Di
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
Un évènement a déjà lieu ce jour là. Nous vous suggérons de sélectionner une autre date.
Seuls les fichiers de 20 Mo ou moins sont acceptés. Si votre fichier est plus lourd, merci d'utiliser un service comme wetransfer.com puis de copier le lien de téléchargement ci-dessous :
Merci pour votre proposition! L'activité de La Colonie est suspendue en raison de l'épidémie de Covid-19. Nous faisons notre possible pour revenir rapidement vers vous.
Crédits

EPRC URL

Réalisation du site web

e-flux - Kader Attia on La Colonie and Algeria
e-flux - Kader Attia on La Colonie and Algeria
La Radio

est avant tout un lieu d'échange et de partage, et c'est dans cette idée que nous vous mettrons prochainement à disposition deux playlists : une comprenant notre sélection musicale, tandis que l'autre regroupera les derniers podcasts mis en ligne. Ces podcasts sont également disponibles directement dans leur évènement associé, prêts à être lancés pour accompagner votre visite.

 

Cette radio est disponible grâce à la plateforme de musique en ligne Soundcloud. Sur chaque podcast, le logo Soundcloud vous permettra d'accéder à sa page liée.